Les souffrances physiques et morales

Tout ceux ayant survecu à cette première guerre mondiale ne s'en sont pas sortis indemnes. En effet les survivants seront marqués à jamais par des souffrances quelles soient physiques et morales

Les blessés, concernant les souffrances physiques, sont nommés "invalides" ainsi que "Gueules Cassées". Dès 1915, les premières associations de grands mutilés et de réformés de blessures sont constituées, l'une des plus célèbre est celle des figurés les "Gueules Cassées" qui voient le jour en 1921 sous l'égide du colonel Picot. L'union des bléssés de la face et de la tête (UBFT) et la fondation des "Gueules Cassées" organisent dans le cadre de la mission du centenaire, un colloque sur la médecine de guerre d'hier et d'aujourd'hui. En 1919 la France entretient 100 000 grands invalides et plus de 15 000 mutilés de la face. Ces invalides sont défigurés au visage et touchés au corps à cause de l'artillerie qui est résponsable de 6 blessures sur 10. Les éclats d'obus sont alors la cause de broiements et fracas de membres qui sont le plus souvent une cause d'amputation. Heureusment, il existait par exemple, la main artculée et d'autres appareillages qui étaient proposés aux mutilés, concernant n'importe quelle partie du corps (pour leurs membres) disparu. Cependant, il faudra du temps pour leur donner des prothèses mieux adaptées. De plus, des batiments publics sont transformés en hôpitaux pour soigner ces blessés et pour pouvoir ainsi les rééduquer.

Nous pouvons remarquer que ces invalides ont été représentés de nombreuses fois dans le domaine artistique. Par exemple, les joueurs de Skat d'Otto Dix en 1920. Le peintre met en évidence les cicatrices, les blessures des "Gueules Cassées". L'homme à gauche représente parfaitement une gueule cassée étant défigurée. Ces 3 hommes représentent aussi les invalides tels que les unis-jambistes.

Ces "Gueules Cassées", gravement défigurées sont l'un des symboles les plus tragiques de la guerre.

Les blessés, concernant les souffrances morales, ne pas vraiment se soigner, les soldats ainsi que les civils étant traumatisés. Les soldats blessés ou même défigurés qui revenaient vers leur famille ne recevaient pas toujours l'accueil espéré. En effet, le regard de leur famille n'est plus le même. Ils ont alors peur de se montrer.

Nous pouvons alors souligner le fait qu'il n'y avait alors ni travail ni foyer. Les hôpitaux consideraient pas que les blessés au visage avaient le droit à la pension d'invalidité.

Cette guerre a entrainé certaine défaillances psychologiques tel que la Folie. (cf coin littérature*3)

Ces problèmes moraux et physqiues sont alors liés à la difficultés de la réintegration à la vie sociale.

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